À Lumbres, le cimentier Eqiom a lancé son programme de décarbonation K6. La première phase consiste à remplacer ses fours à voie humide par un modèle à voie sèche, et la deuxième, plus incertaine, à capter le CO2.

Eco-Tech Ceram a développé un dispositif de stockage modulaire permettant de collecter de la chaleur fatale. Celui-ci, conteneurisé, peut être déplacé au plus près des sites nécessitant un besoin calorifique supplémentaire.

Pour inciter à la mise en place de système de régulation de température dans le résidentiel, une nouvelle fiche vient d’être publiée. Elle permettra de financer l’installation d’appareils performants et d’anticiper l’obligation d’équiper tous les foyers résidentiels d’ici 2027.

Bien que le rythme de déploiement des énergies renouvelables se soit accéléré en 2023, celui-ci reste trop limité pour satisfaire les objectifs de la COP28. Selon Ren21, il faudrait accroître les financements dans les pays en développement.

Selon France Hydrogène, qui a synthétisé différents rapports, de nombreuses incertitudes planent sur les volumes d’hydrogène vert ou décarboné disponibles à l’import mais aussi sur les moyens de les acheminer.

Afin de sensibiliser les étudiants sur les mobilités vertes et faciliter leur report modal, l’école d’ingénieurs Cesi a déployé le programme MobE. Au menu : analyse de données, sensibilisation et définition de nouveaux outils méthodologiques.

Selon GRTgaz, la demande française de gaz a décru sous la barre des 400 TWh en 2023. Les injections de biogaz ont quant à elles atteint 9 TWh et ainsi dépassé les objectifs du Gouvernement.

Depuis plusieurs années, la filière ferroviaire, responsable de 0,3 % des émissions de gaz à effet de serre françaises, travaille sur la décarbonation du réseau : rails, traverses, caténaires, etc.

Une étude est en cours afin de déterminer le potentiel de la géothermie profonde dans l’ouest et le sud de l’Île-de-France. Sa première partie consiste à caractériser les différentes couches géologiques grâce à des vibrations.

EurObserv’ER a publié en décembre dernier son baromètre biomasse solide pour 2022. Cette année-là, après avoir atteint un pic en 2021, sa consommation a légèrement diminué. Explications.

Dans l’Orne, l’unité d’hygiénisation de Meth@domf fonctionne grâce à une chaufferie biomasse. Les agriculteurs l’alimentent en partie avec leurs haies.